On entend souvent dire que la vente commence quand le client dit non.
Donc…
Si j'ai ciblé le bon client...
Si je me suis bien préparé...
Si j’ai bien soigné mon entrée en scène...
Si j'ai bien qualifié ses besoins...
Si je me suis montré centré sur lui et si j’ai fait preuve d’empathie...
Si ma solution est effectivement bonne pour lui...
Si j'ai pu le lui démontrer efficacement...
Si j’ai su impliquer mon client dans le processus...
Si j’ai validé régulièrement les points d’accord...
Et s'il dit spontanément "je signe où ?"...
... Alors je n'aurais pas réellement fait une vente ? La bonne blague ! C’est justement parce que j’ai bien travaillé comme vendeur que c’est passé comme une lettre à la poste.
A mes yeux, cette affirmation s’appuie sur une croyance qui oppose les intérêts du vendeur à ceux du commercial. Dans ce système de croyances là, le client est un adversaire à vaincre ou tout au plus un pigeon à plumer. C'est un jeu à somme nulle où il faut un gagnant et un perdant. On est dans un système qui valorise les grandes gueules et les vendeurs à l’arrache. Tout le contraire de ma vision personnelle des choses qui favorise la recherche de partenariats.
Si par contre on dit "Le sport commence quand le client dit non" alors je suis d'accord. Mais on parle d'autre chose...
Et vous, qu’en pensez-vous ?
À votre tour !
Thomas Jefferson a dit : « Quand deux personnes se rencontrent et échangent un dollar, elles repartent chacune avec un dollar. Quand elles échangent une idée, elles repartent chacune avec deux idées. »
Je vous ai partagé ma vision. Je souhaite connaître la vôtre, et les lecteurs de ce blog probablement aussi. Donnez votre avis, exprimez-vous, échangeons.
Si ma façon de voir les choses vous plaît, partagez-la avec d’autres.
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